Directeur du groupe de réflexion écologique Health of Mother Earth Foundation (HOMEF), membre du comité directeur d’Oilwatch International. Auparavant, président de Friends of the Earth International (2008-2012) et directeur exécutif de Nigeria’s Environmental Rights Action (1993-2013). Co-récipiendaire du Right Livelihood Award 2010, également connu sous le nom de « Prix Nobel alternatif ». Prix Rafto des droits de l’homme 2012. Auteur de livres sur l’environnement, l’architecture et la poésie, tels que We Thought it Was Oil, But It was Blood -Poetry (Kraft Books, 2002), I Will Not Dance to Your Beat – Poetry (Kraft Books, 2011), To Cook a Continent – Destructive Extraction and the Climate Crisis in Africa (Pambazuka Press, 2012) et Oil Politics – Echoes of Ecological War (Daraja Press, 2016).

Directrice des campagnes océaniques à Earth Law Center (ELC), fondatrice et créatrice du cadre des droits de l’océan, fer de lance d’une solution innovante et changeant de paradigme à nos défis de gestion des océans. En 2018, elle a été désignée comme l’un des 15 jeunes leaders de l’océan qui s’attaquent au monde par la Sustainable Ocean Alliance. Spécialiste du droit et des politiques de l’environnement, avec une expertise en droit des océans et de la faune. Membre de la Commission mondiale du droit de l’environnement de l’UICN et du réseau Harmonie avec la nature des Nations unies. Elle est diplômée Summa Cum Laude de la Vermont Law School, où elle a obtenu une maîtrise en droit et politique de l’environnement, et est titulaire d’une licence en biologie avec une spécialisation marine de la Western Washington University.

Cofondatrice et directrice de Movement Rights, une organisation américaine dirigée par des femmes et des indigènes qui travaille principalement avec des tribus et des communautés de couleur pour aligner les lois humaines sur les lois du monde naturel.

Auparavant, elle a été directrice du programme des droits de la communauté et de la nature à Global Exchange pendant 12 ans. À cette époque, elle faisait partie d’une poignée d’organisateurs américains qui ont formulé et diffusé les idées qui sont devenues un mouvement mondial dynamique pour les droits de la nature. Cofondatrice de GARN.

Dans le monde entier, elle a travaillé avec des communautés indigènes, a dirigé des délégations d’enquête sur les droits de la nature en Inde, en Nouvelle-Zélande, en Bolivie et en Équateur, et a organisé et participé à des tribunaux internationaux sur les droits de la nature.

Co-auteur de deux livres, Building the Green Economy : Success Stories from the Grass Roots et The Rights of Nature : Making the Case for the Universal Declaration on the Rights of Mother Earth. Collaborateur principal de l’International Forum on Globalization (IFG) et chargé de cours en relations internationales et environnement à la SFSU, il est titulaire d’une maîtrise en économie, empire et décolonisation de la London School of Economics (LSE).

Juriste en droit international, spécialisé dans les droits de l’homme. Membre du comité exécutif du GARN depuis 2015 et l’un des experts du réseau de l’initiative Harmonie avec la nature de l’ONU depuis 2016.

Après deux décennies de travail de terrain dans des ONG, elle a entamé en 2006 un doctorat en anthropologie juridique dans le Nord du Québec auprès du peuple Innu, puis s’est engagée dans la défense de leur territoire ancestral contre les projets de grands barrages hydroélectriques. Elle s’est également opposée à ce type de projet industriel en Amazonie brésilienne, notamment le barrage de Belo Monte, en préparant des rapports débattus au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations unies ou du Parlement européen.

En 2013, elle lance une initiative citoyenne européenne sur le crime d’écocide, puis cofonde en 2015 l’ONG Notre Affaire à Tous à l’initiative d’une affaire Climat contre le gouvernement français soutenue par 2 millions de citoyens. . En 2015, elle est devenue marraine de l’ONG Initiatives pour le désarmement nucléaire (IDN), et membre de l’ICAN (prix Nobel de la paix 2017). Elle a également contribué à la rédaction du projet de Déclaration universelle des droits de l’homme commandée par le président français, François Hollande, et à une proposition d’amendements au statut de la Cour pénale internationale sur le crime d’écocide. En 2019, elle a cofondé Wild&Legal, une école de droit formant à la doctrine des droits de la nature, et a rejoint en 2020 le groupe de rédaction d’experts sur la définition juridique de l' »écocide » convoqué par la Fondation Stop Ecocide.

Auteur, avocat spécialisé dans l’environnement et expert en gouvernance qui a travaillé sur des questions de gouvernance environnementale dans plus de 20 pays. Il vit au Cap, en Afrique du Sud, et est directeur de Cullinans, un cabinet spécialisé dans le droit de l’environnement et des affaires vertes, du cabinet de conseil en gouvernance EnAct International et du Wild Law Institute. Son livre révolutionnaire « Wild Law A Manifesto for Earth Justice » a joué un rôle important en informant et en inspirant un mouvement international croissant pour la reconnaissance des droits de la nature. En 2008, il a été inclus dans Planet Savers. Extraordinary Environmentalists, un livre qui dresse le portrait d’environnementalistes à travers l’histoire. À l’invitation de la Bolivie, Cormac a pris la parole lors de la Conférence sur le changement climatique de 2009 à Copenhague et a dirigé la rédaction de la Déclaration universelle des droits de la Terre nourricière qui a été proclamée le 22 avril 2010 par la Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique et les droits de la Terre nourricière en Bolivie. En septembre 2010, il a joué un rôle de premier plan dans la création du GARN et siège actuellement à son comité exécutif.

Directeur exécutif de l’Indigenous Environmental Network, une ONG autochtone internationale basée à Bemidji, dans le Minnesota, près de la frontière entre les États-Unis et le Canada. Artisan du changement social au sein de la communauté amérindienne depuis plus de 36 ans, Tom est devenu un leader de renommée internationale dans les domaines de l’environnement, du climat et de la justice économique, travaillant avec de nombreux peuples autochtones et mouvements sociaux dans le monde entier. Coproducteur du documentaire primé Drumbeat for Mother Earth, qui traite des effets des produits chimiques bioaccumulatifs sur les populations autochtones. Cofondateur du GARN. Président du quatrième tribunal des droits de la nature à Bonn, en Allemagne.

Licence de lettres au Hampshire College, Massachusetts. Maîtrise en sciences sociales de la FLACSO-Equateur, maîtrise en changement climatique de l’UASB-EC. A promu la reconnaissance des droits de la nature dans la Constitution de l’Équateur et a travaillé sur les aspects environnementaux et autochtones de l’initiative Yasuní-ITT visant à maintenir le pétrole sous terre en Amazonie. Auparavant présidente, actuellement vice-présidente de la Coordination équatorienne des organisations pour la défense de la nature et de l’environnement (CEDENMA), membre du comité exécutif du GARN, coordinateur de l’équipe mondiale du GARN et secrétaire des Tribunaux internationaux pour les droits de la nature. Consultante de l’initiative Amazon Sacred Headwaters et promotrice du collectif Frente al Ambiente en Équateur. Experte du réseau de l’initiative Harmony with Nature de l’ONU depuis 2016.

Fondatrice et directrice exécutive du Women’s Earth and Climate Action Network (WECAN). Travaille à l’échelle nationale et internationale avec des leaders autochtones et de la base, des décideurs et des scientifiques afin de mobiliser les femmes pour la justice climatique, les communautés résilientes, le changement systémique et une transition juste vers un avenir énergétique propre. Membre du comité exécutif du GARN et visionnaire derrière le Sommet international des femmes sur la terre et le climat, qui a rassemblé 100 femmes leaders du monde entier. Dirige le travail de plaidoyer de WECAN dans des domaines tels que les femmes pour les forêts, le désinvestissement, les droits des autochtones, les droits de la nature et les conférences des Nations Unies sur le climat. Auteure d’un livre primé, Uprisings for the Earth : Reconnecter la culture avec la nature.

Directrice de l’ONG NatureRights et directrice artistique. Aide à organiser, financer et promouvoir le mouvement End Ecocide. Une alliée clé dans l’organisation du troisième Tribunal international des droits de la nature à Paris, France.

Avocat spécialiste de l’environnement. Il est devenu avocat en 2000, après avoir obtenu un diplôme de l’Université de Buenos Aires (UBA), puis effectué des études de troisième cycle et s’être spécialisé en droit de l’environnement. En 2004, il a fondé, avec d’autres jeunes collègues, l’Asociación Argentina de Abogados Ambientalistas (AAdeAA). Professeur à la faculté de droit de l’université de Buenos Aires (UBA) et professeur invité dans d’autres universités. Professeur à la faculté de droit de l’université de Buenos Aires (UBA) et professeur invité dans d’autres universités.

Il est critique du modèle de « développement » fondé sur la croissance illimitée, promoteur des droits de la nature, et a inventé le concept d' »extractivisme urbain » pour désigner le rôle de la spéculation immobilière dans les zones urbaines et périurbaines. Il est également l’auteur de plusieurs articles traitant du développement, de la politique, du droit et de la justice environnementale, publiés en Argentine et à l’étranger.

Philosophe, militante de l’environnement et écoféministe. Actuellement installée à Delhi, Vandana est l’auteur de plus de 20 livres et de plus de 500 articles publiés dans des revues scientifiques et techniques de premier plan. Parmi ses livres figurent : Earth Democracy : Justice, Sustainability, and Peace ; Staying Alive : Women, Ecology, and Development ; et Soil Not Oil : Environmental Justice in an Age of Climate Crisis. Physicienne de formation, elle a obtenu un doctorat en philosophie à l’université de Western Ontario, au Canada.

Elle est l’un des dirigeants et membres du conseil d’administration du Forum international sur la mondialisation et une figure du mouvement de solidarité mondiale connu sous le nom de mouvement altermondialiste. Elle a défendu la sagesse de nombreuses pratiques traditionnelles. Membre du comité scientifique de la Fundación IDEAS, le groupe de réflexion du parti socialiste espagnol. A reçu le prix Right Livelihood en 1993.

Directrice du Centre de Jurisprudence de la Terre. Conseillère principale des étudiants en droit de l’Université Barry qui travaillent avec le CEJ en tant que Earth Law & Policy Fellows.

Anciennement membre du comité exécutif et président du comité juridique du Florida Springs Council. Membre du comité exécutif de GARN, elle anime actuellement le Legal Hub de GARN.

Auteure collaboratrice du tout premier manuel de droit de la terre, Earth Law : Emerging Ecocentric Law : A Guide for Practitioners. Elle a obtenu son diplôme de premier cycle en sciences politiques au Randolph-Macon Woman’s College, sa maîtrise en gestion des ressources humaines et des organismes à but non lucratif à la Penn State University, son doctorat en droit à la Barry University School of Law et sa maîtrise en droit à la Western New England School of Law. Pendant ses études de droit, Margaret a obtenu un certificat d’honneur en droit de l’environnement et a travaillé pendant deux semestres à la clinique de droit de l’environnement et de la terre. Elle donne maintenant des conférences sur la jurisprudence et le droit de la terre à Barry et dans le monde entier. Elle est membre du barreau de Floride.

Universitaire à la Southern Cross University, où il est actuellement membre du conseil et a également occupé plusieurs postes de direction. Il a obtenu son LLB/LLM à l’Université de Turin en Italie, se spécialisant en droit comparé et en anthropologie juridique avec un projet de recherche sur le terrain mené dans les Andes. . Sa recherche doctorale, menée à l’université de Wollongong, portait sur les titres autochtones et le pluralisme juridique dans la région de l’Illawarra.

Alessandro a exploré le discours émergent sur les droits de la nature, le droit de la nature et la jurisprudence de la Terre depuis sa création, en se concentrant particulièrement sur l’intersection entre ce discours émergent et différentes ontologies juridiques. En plus d’avoir publié de nombreux articles dans ce domaine, il a organisé de nombreux événements en Australie sur le droit de la nature et la jurisprudence de la Terre, il est l’un des membres fondateurs de GARN et de l’Australian Earth Laws Alliance, et il a été modérateur lors du dialogue de l’Assemblée générale des Nations unies sur l’harmonie avec la nature.

Alessandro est actuellement membre du comité exécutif du GARN et membre expert du programme Harmony with Nature de l’ONU. Alessandro est actuellement membre du comité exécutif du GARN et membre expert du programme Harmony with Nature de l’ONU. Les principaux domaines de recherche d’Alessandro sont l’anthropologie juridique, la théorie du droit, le droit comparé, la jurisprudence écologique, la souveraineté et les droits autochtones.

Fiona a grandi avec une passion pour la mer et les grosses tempêtes. Son sol natal est la côte atlantique des Cornouailles, au Royaume-Uni, mais elle a surtout vécu en Amérique du Sud, en Équateur, en Colombie et en Uruguay.

Depuis 1992, elle travaille avec la Fondation Gaia, des partenaires mondiaux et des communautés indigènes, sur une myriade d’initiatives visant à protéger et à restaurer la vitalité et la diversité de la Terre. Des Andes à l’Amazonie en passant par l’Atlantique, son histoire est celle d’une immersion dans le soutien de programmes menés par les communautés et d’une influence sur les politiques relatives à la diversité bioculturelle, aux connaissances traditionnelles, aux terres sacrées et aux eaux.

Elle contribue à des groupes d’experts tels que le réseau de connaissances de l’UICN sur les valeurs culturelles et spirituelles des zones protégées et le réseau de connaissances de l’ONU sur l’harmonie avec la nature, soutient le collectif africain sur la jurisprudence de la Terre, collabore à des initiatives en Uruguay et dans le monde entier pour restaurer l’amour et l’attention pour notre océan, et possède un master en gestion des paysages protégés. Elle est mère et navigatrice et partage sa maison à Playa Verde, en Uruguay, avec des chiens énergiques et des animaux sauvages.

Activiste-chercheuse environnementale et sociale originaire d’Inde. Elle travaille avec le groupe d’action environnementale Kalpavriksh où son travail est axé sur la documentation, la recherche et la mise en réseau des alternatives radicales aux systèmes dominants. Elle aide à coordonner coordonner le processus Vikalp Sangam (Alternatives Confluences) en Inde et est membre de l’équipe centrale de Global Tapestry of Alternatives – un processus mondial de tissage de réseaux d’alternatives.

Elle a mené des recherches, créé des réseaux et plaidé en faveur du mouvement pour les droits de la nature, en mettant l’accent sur les rivières d’Asie du Sud. Elle a contribué à co-initier l’Alliance pour les droits des rivières en Asie du Sud.

Boursière (2021-2022) au Post-growth Institute, États-Unis. Maîtrise en études du développement.

Présidente du conseil d’administration de Food and Water Watch, basé à Washington, conseiller du World Future Council, basé à Hambourg, chancelière honoraire de l’université de Brescia. Titulaire de quatorze doctorats honorifiques et leader de la campagne visant à faire reconnaître l’eau comme un droit de l’homme par les Nations unies. Auteure de dizaines de rapports, ainsi que de 19 livres.

Cofondatrice et directrice de la Fondation Gaia. A développé et co-animé une formation de trois ans sur la philosophie et la pratique de la Jurisprudence de la Terre. Licence en sciences de l’environnement, maîtrise en philosophie et en éducation pour le changement social.

Directrice des programmes au secrétariat de l’Earth Charter International (ECI) au Costa Rica. Superviseure de l’ECI pour l’Amérique latine, l’Afrique et le Moyen-Orient, et l’Asie-Pacifique depuis 2006.

Membre et fondatrice de Acción Ecológica. Cofondatrice d’Oilwatch Présidente du Bureau pour la défense de la nature et de ses droits. Biologiste et avocate. Consultante auprès de l’Assemblée constitutionnelle de l’Équateur en 2008. Auteure de nombreux articles et livres sur les droits de la nature, le pétrole et les luttes environnementales en Équateur.

Cofondatrice et coordinatrice principale de la Earth Law Alliance. Membre de la faculté et professeur au Findhorn College. A présenté un nouveau cas pour examen au troisième Tribunal international pour les droits de la nature à Paris, France, sur la question de l’épuisement de la vie marine en 2015.

Avocate et défenseuse d’un droit et d’une gouvernance centrés sur la Terre. Cofondatrice et responsable national de l’Australian Earth Laws Alliance (AELA), chercheuse associée au Law Futures Centre de l’université Griffith ; directrice du New Economy Network Australia (NENA) et de Future Dreaming Australia. Membre du groupe de direction de l’Association internationale du droit et de la gouvernance écologiques (ELGA).

Avocate spécialiste de l’environnement, directrice exécutif du réseau Science & Environmental Health Network (SEHN), experte de premier plan sur le principe de précaution. Auteure d’un certain nombre d’articles et de publications.

Directrice exécutive d’Environment Now. Elle a élaboré et mis en œuvre des initiatives en faveur des droits de la nature en tant que directrice exécutive et cofondatrice du Earth Law Center, a dirigé la California Coastkeeper Alliance en tant que directre exécutive et a supervisé le travail de l’Ocean Conservancy en tant que directrice de la région Pacifique.

Sœur catholique et avocate en droit civil. Prieure (présidente) des Sœurs dominicaines d’Adrian, Michigan, depuis 2016. A fondé le Center for Earth Jurisprudence à la Barry University Dwayne O. Andreas School of Law à Orlando, Floride, en 2006 et le Earth Law Center en 2008. A enseigné la jurisprudence de la Terre et les droits légaux de la nature en tant que professeur auxiliaire aux facultés de droit des universités Barry et St. Thomas de 2006 à 2016.

Militant social et environnemental. Directeur de la Fundación Solón qui travaille sur les questions d’énergie, de forêts, de changement climatique, d’investissement et d’alternatives systémiques.

Fondatrice et présidente du conseil d’administration d’Amazon Watch et a été la première directrice exécutive de l’organisation pendant 18 ans. Directrice de la stratégie mondiale pour l’initiative Amazon Sacred Headwaters.

Cofondateur de Pachamama Alliance, il en est le directeur général et le président depuis 1996.